Pedro Sanchez, président du gouvernement espagnol, a annoncé ce 17 novembre depuis Ankara (Turquie) que la troisième dose est recommandée aux plus de 60 ans et aux soignants
L’Espagne veut conserver jalousement sa place de « très bon élève » en matière de vaccination. Pour y arriver, le gouvernement socialiste, dirigé par Pedro Sanchez Castejon, ne lésine pas sur les moyens pour faire appliquer les mesures dictées par les experts scientifiques internationaux.
Ainsi, alors que plusieurs pays européens jouent la carte diplomatique pour convaincre leurs citoyens à prendre une troisième dose, en Espagne, le gouvernement socialiste l’a imposée aux personnes âgées de 60 et + et aux personnels soignants. Telle est l’information que notre média a obtenue ce 17 novembre de plusieurs sources fiables dont Eldiario.es.
En effet, d’après ce média, la nouvelle a été annoncée par le chef du gouvernement espagnol depuis Ankara où il participait à un sommet de haut niveau avec son homologue turc, Tayyip Erdogan. S’adressant à la presse espagnole, il déclare : « ce que je peux vous confirmer est que le comité de vaccination s’est mis d’accord pour vacciner les personnes de 60 ans et les soignants ».
Et d’ajouter : « je pense, en gros, que le plus important est de poursuivre cette stratégie de vaccination qui a connu un énorme succès dans notre pays. Je le dis avec humilité et prudence ». Il faut que dire ce 17 novembre la décision du gouvernement d’imposer la troisième dose n’est pas passée inaperçue. Elle a suscité des réactions sur les réseaux sociaux.
« Ils disent qu’il faut obligatoirement se vacciner parce que le vaccin fonctionne et qu’il est efficace mais en même temps, il faut prendre une troisième dose, voire une quatrième (comme c’est le cas en Israël) parce qu’il ne fonctionne pas. Folie politico-médiatique ou gavage des laboratoires pharmaceutiques », s’est agacée la journaliste Elena Berberana.
Dicen que hay que vacunarse obligatoriamente porque la vacuna funciona y es eficaz, pero a la vez afirman que hay que ponerse una tercera dosis, incluso una cuarta (como en Israel), porque no está funcionando.
Locura político-mediática o financiación de farmacéuticas a tutiplén.— Elena Berberana (@ElenaBerberana) November 17, 2021