Après son échec dans les urnes dimanche, lors du rejet par référendum de sa réforme constitutionnelle, Matteo Renzi a démissionné de la présidence du Conseil italien mercredi 7 décembre, après avoir passé un peu plus de mille jours à la tête de l’Italie. Il a néanmoins démontré tout au long de la journée qu’il restait combatif, y compris devant son parti, le Parti démocrate (PD, centre gauche). « Nous n’avons peur de rien ni de personne, si les autres partis veulent des élections (…), le PD n’a pas peur de la démocratie ou des votes », a-t-il affirmé devant la direction de son parti, dont il est toujours le numéro un.
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