Vaccination obligatoire et terreur médiatique : les Français ont un choix : se faire vacciner ou perdre leur liberté

Une véritable opération médiatique est en cours pour faire vacciner les Français à tout prix. Cette opération est d’autant plus violente que plus de 60% des Français refusent, en tout cas pour le moment, de se faire inoculer le vaccin, défendant l’argument selon lequel plusieurs données ne leur sont pas fournies sur les vaccins en question.

Cette situation embarrasse l’Etat français au moment où les Etats-Unis disent avoir déjà vacciné 2 millions de personnes. En Grande-Bretagne, il y a six jours, 600 000 personnes avaient été vaccinées et à la date du 30 décembre, le nombre de personnes vaccinées frôle la barre des 1 million. En Allemagne, plus de 18 000 personnes ont été vaccinées il y a deux jours et en Israël, en une journée, plus de 152 000 personnes ont reçu le vaccin anti-Covid.

Pendant ce temps, en France, depuis dimanche, seules 70 personnes avaient été vaccinées, un chiffre qui fait peur au Conseil Scientifique qui n’écarte plus l’hypothèse de recourir à une vaccination obligatoire pour atteindre le seuil d’immunité collective en vue de pouvoir, petit à petit, rouvrir le pays.

Il est donc évident que la France est à la traîne comparée à ses voisins européens. Et donc, l’Etat qui a commandé 200 millions de doses de vaccins ne peut se permettre de jeter cet argent par la fenêtre. Hors de question! Alors, comment fera-t-il si on sait que la population française est l’une des plus réfractaires au vaccin en Europe?

L’Etat doit-il rendre le vaccin obligatoire? Un tel risque soulèverait sans doute une révolution dans le pays. Ou, sera-t-il amené à diviser le peuple en deux groupes entre pro-vaccins qui, parce qu’ils ont reçu un vaccin anti-Covid, bénéficieront d’un passeport sanitaire pour avoir accès à certains lieux et événements et anti-vaccins qui, eux, devront vivre en marge de la société?

Le choix à faire est extrêmement difficile pour l’Etat qui ne veut surtout pas perdre cette bataille contre le peuple. Cependant, il n’a encore rien perdu car pour y arriver, il peut désormais compter sur le soutien inconditionnel des médias qui ont déclenché, ces derniers jours, une violente opération médiatique pour prévenir les Français que sans le vaccin, ce sera la mort.

En effet, ce 30 décembre, beaucoup d’entre eux nous ont prévenus que les nouvelles mutations du virus causeront plus de morts. Et ce n’est pas tout. Ils nous annoncent déjà une troisième vague à venir en 2021 tout en nous rassurant que si nous sommes vaccinés, nous reprendrons notre vie dès l’été 2021. D’ailleurs, depuis lundi, beaucoup de médias ne se limitent plus à leur rôle d’informateurs. Ils sont devenus de redoutables acteurs politiques qui se permettent de critiquer vertement la lenteur du gouvernement dans sa campagne de vaccination.

Celles et ceux qui lisent la presse ces derniers jours doivent certainement se rappeler les premières heures du confinement de mars dernier lorsqu’une opération médiatique similaire, savamment orchestrée, avait été déclenchée pour terroriser les citoyens et leur imposer des mesures qu’aucun dirigeant n’aurait osé imposer en tant de paix.

L’Histoire se répète hélas. Depuis lundi, l’explosion des cas fait la une des journaux et les responsales politiques qui appellent à un reconfinement total ou partiel ont droit de cité sur les plateaux de télévision. D’ailleurs, ce fut un miracle que le confinement n’ait pas été décrété mardi par le gouvernement. Mais, nous y allons tout droit.

La campagne de vaccination a donc démarré dans toute l’Europe et il se trouve que la Français fait figure de mauvais élève, loin derrière ses voisins. Cette tendance, que les médias jugent inacceptable, doit être renversée et ils (les médias) ne lésinent plus sur les moyens pour imposer un vaccin que les citoyens ne rejettent pas mais dont ils voudraient avoir plus d’informations.

Pour le moment, le gouvernement se livre à un pervers jeu de « cache-cache » avec le peuple. Lorsque celui-ci menace de tout foutre en l’air si jamais le vaccin venait à être rendu obligatoire, il le rassure que ce ne sera jamais le cas. Pourtant, pendant ce temps, en coulisse, l’idée d’un « passeport vaccinal » (synonyme d’une vaccination obligatoire) a déjà émergé et pourrait bientôt être imposée au peuple.

Les Français doivent comprendre ceci : la vie normale dont ils jouissaient dans le passé ne reviendra que lorsque chacun des 67 millions d’habitants aura été vacciné. Le gouvernement n’a pas commandé des millions de doses de vaccins pour les jeter à la poubelle. Il a déroulé sa feuille de route pour atteindre son objectif d’une immunisation totale du pays et il y arrivera par tous les moyens.