En voulant tuer Trump politiquement, les Démocrates, qui veulent se débarrasser de lui lors des élections présidentielles de 2020, ont fini par lui accorder une énorme victoire politique qui annonce sans aucun doute sa réélection. En effet, au bout d’une longue comédie qui a duré deux d’années, voilà que les démocrates viennent enfin de capituler à la suite de l’échec cuisant de leur impeachment.
Tout avait commencé en 2016, au lendemain de la victoire du président américain face à Hillary Clinton candidate démocrate. Cette défaite n’a jamais été du goût de la gauche américaine qui, à travers ses supers-puissants supports médiatiques, a voulu arracher au président américain une victoire démocratiquement obtenue dans les urnes.
La stratégie, au-delà d’être anti-démocratique, a été très malhonnête. Je dirai même très sale. Après avoir à plusieurs reprises et en vain brandi l’argument raciste et racialiste pour disqualifier le 45ème président des Etats-Unis, les démocrates ont fabriqué un argument totalement fallacieux qui consiste à accuser la Russie d’avoir été à l’origine de la victoire de Trump.
Et pour faire tomber Trump, ils n’ont pas lésiné sur les moyens. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’enquête sur l’ingérence russe dans les élections de 2016 a duré 675 jours et a coûté 25 millions de dollars aux contribuables américains. Dans cette farce qui a duré deux ans, 2 800 personnes se sont présentées devant un juge, 500 témoins ont été entendus par la justice et 500 mandats d’arrêt ont été émis contre des personnalités proches de Trump. Pendant deux ans, les démocrates ont semé une véritable terreur aux Etats-Unis, rappelant l’époque du Maccarthysme où la moindre suspicion suffisait pour traîner un citoyen devant les tribunaux.
Il a fallu deux ans d’enquête pour que Robert Mueller, le procureur général en charge d’un dossier scabreux, siffle la fin de la récréation en livrant ses conclusions. Et sans surprise, au bout d’une enquête minutieuse, il a fini par disculper Trump de tout lien entre son administration et la Russie lors de la présidentielle de 2016. Toutefois, la cuisante humiliation infligée aux démocrates n’avait pas suffi à les assagir. Au contraire, ils ont persisté dans leur volonté à tout prix de se débarrasser de Trump.
Le dernier argument sur lequel ils se sont appuyés pour atteindre leur objectif a été l’UkraineGate. Un dossier monté de toutes pièces et dans lequel ils accusaient Trump de s’être immiscé dans les affaires intérieures d’un pays souverain en utilisant l’aide américaine estimée à 391 millions de dollars allouée à l’Ukraine comme moyen de faire chanter le gouvernement de ce pays en le forçant à ouvrir une enquête concernant Hunter Biden, fils de Joe Biden impliqué dans des affaires douteuses pendant qu’il était membre du Conseil d’Administration d’une gigantesque compagnie pétrolière du nom de Burisma.
Les accusations ont toujours été niées par Trump et par le président ukrainien, Volodymir Zelensky, qui lors d’une visite aux Etats-Unis en septembre a clairement déclaré : « personne ne m’a mis la pression ». Pourtant, ils n’ont jamais rien voulu savoir, car obsédés à l’idée de se débarrasser d’un président qui, qu’on le veuille ou non, a été démocratiquement élu à la tête de ce pays.
Pour se rendre compte de l’hypocrisie et de la dictature des démocrates, il suffit juste de se focaliser sur les moments chauds de l’impeachment où ils ont voulu faire dire à John Bolton, ex conseiller de Trump à sécurité nationale, que le président américain a bien fait chanter le gouvernement ukrainien.
Le point positif est que la mauvaise foi des démocrates, grâce à cette crise politique, est apparue au grand jour. En effet, pendant qu’ils tentaient à tout prix de faire tomber Trump, ils ont tout de même catégoriquement refusé de se pencher sur Joe Biden, candidat démocrate à la présidentielle de 2020 qui s’est publiquement vanté d’avoir contraint l’ex président ukrainien Petr Poroshenko à virer le procureur ukrainien qui enquêtait sur son fils.
Bizarrement, dans cette affaire, les démocrates n’ont jamais demandé à ce qu’une enquête soit ouverte contre leur futur candidat qui, pourtant, a publiquement reconnu son ingérence dans les affaires intérieures d’un pays souverain. Imaginez-vous le séisme médiatique que cela aurait créé aux Etats-Unis si les propos de Joe Biden avaient été tenus par Trump ? Ce serait sans aucun doute la fin de son mandat. En plus, tout le monde sait que le fils de Biden était impliqué dans une affaire de corruption pour avoir occupé un poste auquel il n’avait aucune expertise et où il touchait 50 000 dollars par mois. Malgré tout cela, jusqu’ici ni Hunter Biden, ni son père n’ont été inquiétés par la justice américaine.
La bassesse des hommes politiques américains (démocrates comme républicains cette fois-ci) a conduit ces derniers à adopter un comportement digne de celui d’un enfant de 10 ans. Figurez-vous qu’Adam Schiff, parlementaire républicain, est allé jusqu’à improviser une conversation avec un lanceur d’alerte ukrainien qui disait détenir des informations accablantes sur Trump. Et en fin janvier, ils ont sorti de nulle part un escroc ukrainien pour tuer Trump politiquement. L’homme est un personnage assez étrange qui a deux noms Lev Parnas ou encore Larry Pharrell.
Nul besoin de revenir sur toutes les conneries des démocrates ces deux dernières années. Néanmoins, force est de reconnaître qu’ils ont eu le mérite de nous montrer leur vrai visage et de nous divertir. Au moins, ils nous ont servi à cela. Pendant deux ans, ils n’ont jamais voulu faire de la politique car en réalité, ils sont à court d’arguments sur bien des sujets sur lesquels les Américains les attendent : l’économie, l’immigration, la délinquance et sur d’autres sujets sur lesquels Trump fait un travail remarquable.
Non seulement la comédie a trop duré, mais elle n’a fait rire personne. Et en plus, elle risque d’avoir des conséquences dramatiques sur les démocrates. En effet, Donald Trump vient d’être acquitté par le Sénat américain qui a rejeté tous les arguments mis sur la table par des démocrates qui sont désormais conscients que leur défaite lors des prochaines élections est inévitable. D’ailleurs, n’est-ce pas ce sentiment de déception qui a poussé Nancy Pelosi ce 4 février à déchirer publiquement le brillant discours de Trump?
Les nerfs sont tendus chez les démocrates et le bug qu’il y a eu, il y a quelques heures lors des primaires du parti au niveau de l’Iowa, en est la confirmation. Comment peut-on gérer un pays si on n’arrive pas à gérer des primaires ? La victoire de Trump est sans appel et le président américain, soulagé par son acquittement par le Sénat, est renforcé dans l’idée qu’il n’a plus d’opposants en face de lui, mais des énergumènes prêts à tout pour saper le mandat d’un président élu par le peuple. Qu’on aime Trump ou pas, telle est la réalité aujourd’hui. En voulant tuer politiquement le 45ème président des Etats-Unis, le parti démocrate a fini par se suicider.