L’histoire s’est répétée ce samedi au stade Santiago Bernaubeu et le protagoniste n’est autre que Sergio Ramos. Ce jeune garçon qui a intégré le Real Madrid en 2005 est devenu au cours de ces trois dernières années la pierre angulaire du football espagnol. Que ce soit en club ou avec la « Roja », sa présence est d’une importance primordiale.
Agé seulement de 30 ans, la star « Ramos », désormais appelé par les médias « NoventayRamos » (en raison de ses exploits dans les 90ème minutes), est incontestablement le chouchou du club merengue. N’en déplaise à Cristiano Ronaldo. La différence entre les deux ? L’un (CR7) est un joueur hors du commun, l’autre (Ramos) est un joueur béni qui ouvre le sésame au moment où l’on ne s’y attend jamais.
Demandez à Atlético de Madrid, au FC Barcelone ou encore au Deportivo La Corogne, contre lequel il a joué ce samedi, avant de laisser, une nouvelle fois, ses empreintes dans les 90ème minute. Alors que les hommes de Zinedine Zidane se dirigeaient inévitablement vers un match nul, Ramos tire le meilleur du match. D’un seul coup de tête, il change l’histoire d’une Liga qui tient en haleine des milliers de spectateurs dans le monde.
Ce samedi, le Barça s’est certainement frotté les mains dans l’espoir de se rapprocher de son rival éternel. Mais un certain Ramos changea la donne. Avec une tête qui vaut de l’or, Ramos réécrit l’histoire. Déjà en Espagne, certains estiment que le joueur espagnol est plus qu’une Fleur. C’est un Jardin. Viva Ramos !