Une sévère punition! L’ex actrice française a écopé d’une lourde amende à la suite de ses propos jugés racistes et qui avaient été prononcés dans une lettre datant de 2019. Deux ans après le scandale qui avait provoqué une vive indignation des Français d’Outre-mer, l’amende est finalement tombée et elle est très salée.
En effet, d’après Le Parisien, le parquet a requis jeudi 7 octobre 25 000 euros d’amende contre l’ex actrice française lors d’une audience du tribunal judiciaire de Saint-Denis. Et Brigitte Bardot n’a pas été la seule personne punie par la justice. Son attaché de presse, Bruno Jacquelin, est lui aussi condamné à verser une amende de 5 000 euros.
« Une peine de 5000 euros d’amende a également été requise contre Bruno Jacquelin, l’attaché de presse de Brigitte Bardot, qui est poursuivi pour complicité d’injures publiques. A la demande de son employeuse, il avait transmis le courrier litigieux à plusieurs médias, dont l’AFP. Ni Brigitte Bardot ni M. Jacquelin n’étaient présents à l’audience », renseigne la source.
« Les autochtones ont gardé leurs gênes de sauvages »
Ce vendredi, l’information a été reprise par plusieurs sources, dont 20minutes. D’après ce média, la condamnation de Brigitte Bardot fait suite à une lettre qu’elle avait adressée en 2019 à Amaury de Saint-Quentin, à l’époque préfet de La Réunion. Les mots de l’ex actrice ont été très durs.
Dénonçant les violences faites aux animaux, elle écrira : « les autochtones ont gardé leurs gênes de sauvages ». « Elle avait aussi comparé La Réunion à ‘l’île du diable’ avec ‘une population dégénérée encore imprégnée (…) des traditions barbares qui sont leurs souches' », ajoute 20minutes.