Le tribunal de commerce de Madrid a finalement tranché en faveur de BlaBlaCar. La confédération espagnole de transports par autobus (Confebus) accusait la start-up française de covoiturage de concurrence déloyale. Elle avançait plusieurs arguments. D’une part, qu’elle exerce comme «entreprise de transport sans les autorisations correspondantes» et, d’autre part, que les bénéfices dégagés sont illicites. En Espagne, où BlaBlaCar est implanté depuis 2009, 3,5 millions de personnes utilisent ses services.