Lors d’une audition très tendue qui s’est tenue ce 27 mars à Bruxelles, la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, a totalement dégagé la responsabilité d’Ursula Von Der Leyen, présidente de la Commission Européenne, affirmant, devant le Comité Spécial Covid, en affirmant que cette dernière (Leyen) n’a pas du tout été impliquée dans les négociations ayant mené à la signature de plusieurs milliards de contrats de vaccins avec les laboratoires
Ursula Von Der Leyen peut désormais dormir sur ses deux oreilles. Alors que la presse internationale vient de faire état d’une renégociation des contrats entre la Commission Européenne et les géants pharmaceutiques, la présidente de la Commission Européenne vient d’être blanchie de tout soupçon par Stella Kyriakides, commissaire européenne à la Santé qui, durant une audition tendue qui s’est tenue ce lundi 27 mars à Bruxelles, a pris la défense de Von Der Leyen.
Ursula Von Der Leyen peut désormais dormir sur ses deux oreilles. Alors que la presse internationale vient de faire état d’une renégociation des contrats entre la Commission Européenne et les géants pharmaceutiques, la présidente de la Commission Européenne vient d’être blanchie de tout soupçon par Stella Kyriakides, commissaire européenne à la Santé qui, durant une audition tendue qui s’est tenue ce lundi 27 mars à Bruxelles, a pris la défense de Von Der Leyen.
Face au Comité Covid, Stella Kyriakides précise que tout a été fait pour que les députés soient informés des tenants et aboutissants des contrats signés avec les labos. Cependant, elle reconnaît, tout de même, que les réponses fournies à ces derniers (les eurodéputés, ndlr) n’ont pas été satisfaisantes en raison des clauses de confidentialité qui encadrent ces contrats.
Il faut dire que l’audition de Stella Kyriakides intervient dans un contexte houleux marqué par une forte exigence des citoyens européens (représentés par différents partis politiques) d’avoir finalement accès aux contrats signés entre la Commission Européenne, dirigée par Ursula Von Der Leyen et les labos, notamment Pfizer qui a touché le gros lot.
Cette colère des citoyens européens a été exacerbée par la tournure des événements. En effet, convoqués à s’expliquer sur les contrats signés, Von Der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer, ont catégoriquement refusé de se présenter devant le Comité Covid de l’UE. Une attitude qui n’a pas manqué de déclencher l’immense courroux de la classe politique européenne, notamment en France où beaucoup de voix se sont élevées exigeant la publication sans condition des contrats au nom de la transparence.
La Commission Européenne finira-t-elle par capituler? Telle est la question. L’avenir nous le dira!