D’après les experts britanniques qui conseillent le gouvernement, entre 25 000 et 75 000 personnes risquent d’être tuées par le variant Omicron si des mesures de restriction plus strictes ne sont pas prises
En Grande-Bretagne, la stratégie de la peur semble être la meilleure arme des experts sanitaires pour inciter la population à se faire vacciner contre le nouveau variant, Omicron. Un variant qui fait trembler le monde depuis bientôt deux semaines et considéré, par les scientifiques sud-africains, comme totalement léger.
Cependant, malgré ses assurances en provenance de Johannesburg, Londres s’entête à jouer la carte de la terreur, et ce jusqu’au bout. En effet, d’après le média britannique, The Guardian, dans ce pays, les experts scientifiques prédisent désormais la mort de 75 000 personnes dû au virus.
« Omicron pourrait causer entre 25 000 à 75 000 morts en Angleterre ces cinq prochains mois si des mesures de restriction plus strictes ne sont pas prises », note The Guardian, citant les experts sanitaires. Toujours selon la même source, des scientifiques de l’Ecole d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres ont prévenu qu’Omicron pourrait se généraliser entre le 1 décembre et le 30 avril.
« Si la tendance actuelle se poursuit, alors Omicron pourrait représenter la moitié des cas en Grande-Bretagne d’ici la fin du mois de décembre », alerte Nick Davies, scientifique britannique. Ces prédictions en provenance de la Grande-Bretagne pourrait inutilement participer à faire peur aux gens, d’autant plus qu’en mai dernier, des experts sanitaires de ce pays avaient reconnu avoir utilisé la peur pour imposer des mesures totalitaires lors de la première vague.