Les scientifiques britanniques ont fait leur mea-culpa la semaine dernière en reconnaissant avoir, sans gêne, eu recours à des méthodes totalitaires pour imposer des mesures de restriction qu’ils n’auraient jamais osé imposer en temps normal. L’objectif final, avouent-ils, a été de contrôler les esprits afin de mieux manipuler les libres citoyens que nous étions peu avant la crise. Et tout ceci n’a été possible que grâce au soutien des médias.
Pour le moment, seuls les scientifiques britanniques ont fait leur mea-culpa. Mais, ce qui est certain, c’est que dans d’autres pays du monde, on a eu recours à la même stratégie qui consiste à terroriser les citoyens au maximum sachant que lorsqu’on arrive à terroriser toute une population, on peut facilement la transformer en un mouton de panurge prêt à obéir au doigt et à l’œil sans se poser trop de questions. Pis, par la peur, on peut réussir à faire de lui le plus grand allié de son bourreau.
Et cette triste réalité, nous l’avons vécue durant la pandémie lorsque des citoyens masqués s’en sont publiquement pris à d’autres (n’ayant pas porté le masque) dans le transport ou dans l’espace public les accusant (à tort ou à raison) de mettre leur vie en danger. D’ailleurs, dans certains pays du monde, la délation était devenue une vertu et les braves citoyens qui dénonçaient leur voisin de palier étaient érigés en héros.
« Cette méthode est totalitaire », ont reconnu les scientifiques britanniques car, selon eux, elle se base fondamentalement sur la peur. Ici, le consentement n’existe pas. La liberté est bafouée. La Démocratie est piétinée et tout citoyen qui refuse de jouer le jeu risque de le payer très cher car l’Etat, devenu un loup, a ouvert toutes les portes des prisons pour mettre tous les moutons réfractaires hors d’Etat de nuire.
Pourtant, au tout début de la pandémie, tous les citoyens qui osaient dénoncer ce totalitarisme sanitaire (que certains appellent ‘dictature sanitaire’) ont été taxés de méchants complotistes à qui il fallait priver de parole voire humilier publiquement.
En France, une purge sans précédent a été organisée afin de faire taire toute voix dissidente. Ainsi, dans ce pays, d’éminents scientifiques, de renommée internationale, ont été du jour au lendemain traités de charlatans, bannis des médias et même menacés de poursuites judiciaires.
Et c’est d’autant plus triste que les scientifiques n’ont pas été les seuls à subir une dictature d’une telle violence. Les journalistes et les intellectuels ont eux-aussi payé un lourd tribut. En effet, plusieurs médias (dont Lecourrier-du-soir.com) ont reçu, dès les premières heures de la pandémie, des mises en garde et ont été vilipendés par des organes de presse grassement rémunérés pour imposer la pensée unique en pleine pandémie.
Et les exemples sont légion. Le média France Soir a, du jour au lendemain, perdu ses 300 000 abonnés après avoir été bloquée par YouTube pour avoir tout simplement osé poser les bonnes questions que les médias officiels n’osent plus poser. Et tout récemment, le média Sud Radio, (l’une des radios les plus importantes de France) a, elle-aussi, été menacée (de suppression) par la plateforme américaine.
L’objectif de ces charognards (scientifiques) était donc clair : il fallait tout faire pour empêcher les citoyens (devenus de simples sujets dépourvus de droit, de pouvoir et de liberté) d’utiliser leur cerveau (ne serait-ce qu’une seule seconde) pour tenter de comprendre l’univers orwellien qui est en train de se mettre en place. Et pour mieux asservir et abrutir les masses, ils ont réussi à créer, durant la pandémie, deux deux types de citoyens : le bon et le méchant.
Est bon citoyen celui qui ferme sa gueule et se contente de gober toutes les versions officielles qui lui sont servies en longueur de journée par des médias qui, du jour au lendemain, se sont érigés en détenteurs de la vérité absolue, muselant toute opinion divergente et calomniant tout adversaire redoutable. Est méchant citoyen celui qui tente (en dépit d’une manipulation de masse savamment orchestrée par les médias et les élites au pouvoir) d’ouvrir les yeux en se posant des questions.
Les citoyens ont tout de même été convaincus que sans la connivence des médias aucune des mesures totalitaires qui nous ont été imposées n’aurait été acceptée. Ils ont également été convaincus que les soi-disant scientifiques, spécialistes des plateaux de télé, avaient outrepassé leurs prérogatives en s’auto-érigeant, tout d’un coup, en juges détenant les pleins pouvoir pour ordonner l’arrestation de citoyens qui, à leurs yeux, étaient devenus de violents criminels pour avoir tout simplement remis en cause le port du masque ou l’utilité des vaccins.
Un an après le début d’une pandémie à visage tyrannique, les masques sont finalement tombés et nos vaillants scientifiques qui ont déclenché une redoutable opération de terreur pour nous infantiliser (en nous faisant accepter les mesures les plus totalitaires et les humiliantes qui soient) reconnaissent désormais avoir agi sciemment.
Mais, les choses ne peuvent pas en rester là. Ce serait trop facile. Les pauvres citoyens que nous sommes et à qui on a privé de vie et de liberté durant plus de 12 mois exigeons que justice soit faite. Les tribunaux doivent être ouverts et les marchands de peur, qui se sont bâtis une énorme réputation sur le dos des peuples, doivent être sanctionnés avec la dernière énergie.
Ils n’ont plus leur place au sein de nos sociétés. Qu’ils croupissent tous en taule et le plus vite serait le mieux.
Cet édito est écrit par Cheikh DIENG, auteur du livre « Covid-19 : le monde d’après sera une dictature ». Vous pouvez l’acheter en cliquant sur les liens suivants : Covid-19, Covid-19