Décédé au Sénégal en février dernier, le garde du corps du président Erdogan aurait été tué par empoisonnement

D’après les informations obtenues par le média The Greek City Times, le garde du corps du président turc, décédé en février dernier à Dakar lors de l’inauguration du stade Abdoulaye Wade, aurait été victime d’un empoisonnement

Le chef de sécurité du président turc, Erdogan, a-t-il été tué? La question se pose. Mais, pour l’heure, rien ne permet de le confirmer. Cependant, moins d’un mois après son décès survenu au Sénégal lors de la cérémonie de l’inauguration du stade Abdoulaye Wade, la thèse de l’assassinat prend forme. Petit à petit!

En tout cas, ces dernières heures, c’est le média grec, The Greek City Times qui nous en dit un peu plus. En effet, d’après cette source qui cite le média turc, Tr724.com, Hayrettin Eren, garde du corps du président turc, aurait été victime d’un empoisonnement contrairement aux arguments avancés par la presse turque qui, elle, parle de « crise cardiaque ».

Ainsi, à en croire le média turc Tr724.com, les médecins légistes qui ont mené une autopsie sur le corps du défunt ont retrouvé (dans le corps de ce dernier) « des substances hautement toxiques qui ont été à l’origine de sa crise cardiaque ». La même source précise que Hayrettin Eren n’a jamais souffert de crise cardiaque dans le passé.

Selon le média The Greek City Times, de retour de Dakar, une cérémonie a été organisée au palais présidentiel turc par le président Erdogan pour présenter ses condoléances à sa famille et rendre un dernier hommage à un chef de sécurité dont la compétence et la rigueur dans le travail avaient fini par faire de lui l’un des gardes du corps les plus populaires du pays.

Affaire à suivre!