Depuis l’annonce de la victoire de Donald Trump ce 9 novembre 2016, les messages de haine à l’encontre du candidat républicain n’ont cessé de grimper. Sur Twitter, de nombreux opposants au nouveau président appellent ouvertement à assassiner Donald Trump
Les appels pour l’assassinat de Donald Trump ont déjà commencé. Quelques heures seulement après son écrasante victoire sur Hillary Clinton, ses opposants n’arrivent plus à contenir leur rage. Certains vont jusqu’à appeler carrément à son assassinat pour l’empêcher d’accéder à la Maison Blanche.
Sur Twitter, les messages de haine sont montés d’un cran quelques heures après l’annonce de la victoire de Trump. « Ma mère parle d’assassiner Donald Trump. Attention les gars, ma mère blanche de la banlieue vient vers vous », pouvait-on lire sur le compte d’un certain DuckFanAccount.
« Est-ce que quelqu’un peut assassiner Donald Trump avant janvier ? »
Un autre internaute poursuit : « Trump n’est pas président jusqu’à son investiture. Les gars, vous avez le temps de les assassiner, lui et Mike Pence », écrit Kazzaandrabalona. Un autre pose la question : « est-ce que quelqu’un peut assassiner Donald Trump avant janvier ? ».
Simples plaisanteries ou menaces sérieuses ? Les messages ont grimpé de manière spectaculaire en longueur de journée. Et sur chaque phrase, l’idée d’assassiner Donald Trump, le 45ème président des Etats-Unis, y est évoquée. « Je prie que le premier mec qui essaie d’assassiner Trump ne rate pas », écrit BankRollGreg.
« Si Trump gagne, il sera tué. Croyez-moi. Quelqu’un l’assassinera »
Un autre sous le pseudo de Danna ajoute : « si Trump gagne, il sera tué. Croyez-moi. Quelqu’un l’assassinera. Plus de chapitres pour les livres d’histoire je suppose ». Pour le moment, aucune déclaration n’a été faite par les services de renseignement américains qui étudient sérieusement ces genres de messages contenus sur Twitter.
Rappelons que Donald Trump a été élu président des Etats-Unis ce mercredi 9 novembre 2016. Sa victoire a été écrasante (289 voix) contre 210 pour l’ex première dame, Hillary Clinton. L’écart pourrait se creuser car les votes des électeurs de Minnesota, de Michigan et de New Hampshire n’ont pas encore été comptabilisés.