Coup de théâtre : c’est confirmé, Von der Leyen a privilégié les entreprises allemandes depuis son arrivée à Bruxelles

Un nouveau scandale vient d’ébranler l’Union Européenne. Alors que l’union des 27 a été très fortement fragilisée par la guerre en Ukraine et la gestion de la pandémie à Coronavirus, voilà que surgit de nulle part une révélation à laquelle personne ne s’attendait d’ailleurs. Et elle émane du média Politico, l’une des sources journalistiques dont la fiabilité est très rarement remise en question.

En effet, dans une enquête publiée ce 26 février sur son site et lue par Lecourrier-du-soir.com, Politico nous apprend que l’actuelle présidente de la Commission Européenne, Ursula Von der Leyen, a privilégié, depuis sa nomination à ce poste, les entreprises allemandes, son pays d’origine.

Dans l’article lu par notre média, on y apprend que la présidente de la Commission Européenne a un fort penchant envers les entreprises privées allemandes à qui elle accorde régulièrement des rencontres dans son bureau de Bruxelles. Et la révélation faite par Politico est hallucinante.

Ainsi, dans l’article, on y lit : « Von der Leyen a été plus prompte à rencontrer des organisations allemandes que le reste de son cabinet. Les entreprises allemandes dominent largement, représentant un quart de toutes les entreprises que la présidente de la Commission Européenne a rencontrées depuis sa nomination », rapporte le média.

Et Politico d’ajouter : « plus d’un quart des organisations qui ont rencontré Von der Leyen et son cabinet ont leur siège en Belgique.  Cela est dû au fait qu’une grande partie d’entre elles sont des groupes de lobbying représentant des intérêts pan-Européens, tels que les industries, les organisme-cadres ou les ONG ».

Jointe par Politico, Arianna Podesta, porte-parole de la présidente de la Commission Européenne, s’est expliquée en réagissant en ces termes : « les rencontres de la Présidente de la Commission Européenne et de son cabinet reflètent pleinement les priorités de la Commission ».

Pour elle, ces rencontres ne prennent pas en considération le pays où les entreprises sont basées. Fait important souligné par Politico, la plupart de ces rencontres ont eu lieu en pleine pandémie à Coronavirus au moment où des millions de citoyens européens ont été confinés chez eux à leur corps défendant.