Coup de théâtre : l’Etat américain avoue que l’immunité vaccinale disparaît considérablement au bout de 3 mois

Dans un article publié sur son site officiel ce 19 juillet et lu par Lecourrier-du-soir.com, le National Institute of Health qui dépend directement du Ministère américain de la Santé reconnaît que la réponse immunitaire induite par le vaccin disparaît considérablement au bout de seulement trois mois

Une nouvelle qui pourrait déclencher le courroux des médecins et experts sanitaires qui, depuis deux ans, défendent bec et ongles l’idée que seul le vaccin peut mettre fin à la pandémie. Ainsi, depuis deux ans, une impressionnante campagne de vaccination est lancée dans le monde afin d’immuniser tous les êtres humains.

Cependant, malgré un fort taux de vaccination noté dans certains pays d’Occident, les spécialistes sont finalement arrivés à la conclusion que l’immunité conférée par le vaccin disparaît considérablement au bout seulement de trois mois après la prise d’une dose. Un argument qui remet en cause l’idée que seul le vaccin est la panacée.

C’est en tout cas ce que Lecourrier-du-soir.com a appris du National Institute of Health, une institution qui dépend du gouvernement américain. En effet, dans un article publié sur son site officiel ce 19 juillet, l’institution reconnaît, en citant une étude menée par Cell Reports Medecine, que l’immunité induite par le vaccin disparaît considérablement au bout de trois mois.

Parlant de l’étude en question, le National Institute Of Health nous apprend ceci : « dans la nouvelle analyse, les chercheurs rapportent que pratiquement toutes les combinaisons de vaccin testées ont obtenu de hauts niveau d’anticorps face au sous-variant BA.1. Cependant, les niveaux d’anticorps face à Omicron étaient faibles chez les personnes ayant reçu le vaccin Ad26.COV2.S (…) ».

Et le National Institute of Health d’ajouter : « en plus, les réponses immunitaires contre Omicron ont considérablement disparu chez tous les groupes et les niveaux d’anticorps sont passés de 5,3 à 2,4 trois mois seulement après la dose de rappel ».

Comme on pouvait s’y attendre, l’article du National Health Institute a déclenché un vif tollé sur les réseaux sociaux