Covid : une revue scientifique mondiale avoue que des femmes vaccinées avec AstraZeneca seraient mortes de crise cardiaque

Les langues se délient. Deux ans et demi après l’arrivée de la pandémie à Coronavirus qui a donné lieu à une campagne de vaccination inédite dans le monde entier, les résultats des études faites sur le vaccin commencent à être dévoilés par les médias de masse. Un sujet jadis tabou est en train petit à petit de faire son apparition dans le débat public.

Et cette fois-ci, ce n’est pas un média complotiste qui donne l’info, mais plutôt le très prestigieux New York Times. En effet, dans un article paru sur son site ce 29 mars et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, le média américain relaie les résultats d’une étude britannique consacrée au vaccin AstraZeneca.

L’étude conclut que les jeunes femmes qui ont pris au moins une dose de ce vaccin ont eu plus de chance de mourir d’une crise cardiaque les 12 mois suivant leur immunisation. A en croire la même source, les résultats de cette étude ont été publiées lundi dans la revue scientifique Nature Communications.

D’après les résultats de l’étude, sur 100 000 femmes ayant au moins pris le vaccin AstraZeneca, 6 ont développé des risques de décès dû à des troubles cardiaques et l’étude ajoute que parmi ces femmes vaccinées, le risque de décès dû à des troubles cardiaques était 3,5 fois supérieur durant les 12 mois ayant suivi la prise de dose d’AstraZeneca.

A peine révélée, l’étude a été largement relayée sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter.