Scandale : le vaccin Johnson & Johnson a fait deux fois plus de morts chez les vaccinés que les autres vaccins

Une étude du Center For Disease Control (CDC) vient de conclure que les décès d’Omicron chez les personnes bénéficiaires du vaccin Johnson&Johnson aux Etats-Unis étaient le double de ceux des autres Américains vaccinés avec des doses de vaccins différentes. Pourtant, de nombreuses études financées par ce laboratoire américain disaient le contraire 

Une révélation qui risque de provoquer une vive polémique dans les jours à venir. En tout cas, en pleine pandémie et au moment où plusieurs pays du monde commencent à faire face à une nouvelle vague, le géant pharmaceutique Johnson&Jonhson est dans de beaux draps.

En effet, d’après le média américain CBS News, le taux de mortalité chez les personnes vaccinées avec cette dose était deux fois supérieur à celles des personnes vaccinées avec d’autres doses. Pourtant, plusieurs études financées par le laboratoire avaient conclu que le vaccin Johnson&Johnson était bien fiable.

Ainsi, CBS cite une étude menée récemment par le groupe pharmaceutique et concluant que l’efficacité de son vaccin contre les hospitalisations était de 81%. Toujours selon la même source, le laboratoire américain avait aussi mené une autre étude en Afrique du Sud en pleine vague d’Omicron concluant que son vaccin était efficace à 85%. Des études largement relayées par les médias

Mais, apparemment, il n’en est rien. Car, à en croire CBS, de nouveaux chiffres fournies par la CDC (Center For Disease Control) indiquent que le taux de mortalité chez les personnes vaccinées avec une dose de Johnson&Johnson était deux fois supérieur à celui les personnes immunisées avec d’autres doses.

Ainsi, d’après CBS qui cite le Center For Disease Control, dans la semaine du 8 janvier, le taux de mortalité chez les personnes vaccinées avec une dose de Johnson&Johnson était plus de 5 sur 100 000. « C’est plus que le taux de mortalité chez les vaccinés de Pfizer ou de Moderna qui représentaient 2 sur 100 000 », note le média américain.

Pour lire l’étude du Center For Disease Control, cliquez ici : CDC