Scandale en France : poursuivie pour « corruption passive », la ministre Rachida Dati tenterait d’échapper à un procès

A peine nommée ministre de la Culture d’Emmanuel Macron, Rachida Dati doit faire face à des ennuis judiciaires qui risquent de ternir davantage son image. Mise en examen en 2021, la ministre tenterait à tout prix, d’après les informations du journal Le Monde, d’échapper à un procès.

C’est en tout cas ce que Le Monde a révélé, ce 05 mai. « Rachida Dati va abattre l’une de ses dernières cartes pour tenter d’échapper à un procès. Mise en examen depuis juillet 2021 pour ‘corruption passive’, ‘trafic d’influence passif’, ‘recel d’abus de pouvoir’ et ‘recel d’abus de confiance’, la ministre de la culture et maire du 7arrondissement de Paris soumet un énième recours, mardi 7 mai, à l’examen de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. Elle entend faire annuler les poursuites à son encontre dans l’affaire dite Carlos Ghosn, du nom de l’ex-PDG de Renault-Nissan, visé par deux mandats d’arrêt internationaux de la justice française et en fuite au Liban ».

Le Monde poursuit : « dans le cadre de leur requête devant la chambre de l’instruction, les avocats de Rachida Dati, Olivier Pardo et Olivier Baratelli, soutiendront que la prescription serait acquise dans ce dossier depuis 2015. Ils s’appuient sur le fait que, selon eux, ‘les missions d’avocat’ de la ministre de 2010 à 2012 auprès de Renault-Nissan BV (RNBV), filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, n’auraient ‘jamais été dissimulées' ».

En raison du caractère très sensible du sujet, Lecourrier-du-soir.com vous invite l’artice dans son intégralité en cliquant sur le lien suivant : Le Monde