Scandale : Pfizer avoue au tribunal que le gouvernement américain savait que ses essais étaient frauduleux

Une révélation explosive. Si les médias de masse venaient à relayer cette information, le laboratoire Pfizer pourrait subir de violentes attaques de la part des anti-vax qui lui déclarent une guerre sans merci depuis le début de la pandémie. En effet, aux Etats-Unis, l’avocat de la lanceuse d’alerte Brook Jackson qui accuse Pfizer d’avoir falsifié les données de ses essais cliniques a fait une révélation de taille largement partagée sur les réseaux sociaux.

Dans son travail d’investigation et afin d’éviter de tomber dans le piège des Fake News, Lecourrier-du-soir.com a pu retrouver la vidéo de l’interview publiée sur le réseau social, Rumble. Ainsi, dans l’entretien accordé à la chaîne Viva Frei, l’avocat révèle que Pfizer rejette le procès qui lui est intenté par la lanceuse d’alerte en brandissant l’argument selon lequel cette plainte ne peut pas aboutir car le gouvernement américain savait que les essaies étaient frauduleux.

« Ce qui est extraordinaire est que Pfizer cherche à rejeter le procès. Et son argument pour y arriver est que peu importe qu’il ait fourni des documents frauduleux au gouvernement, peu importe qu’il ait fourni des témoignages fallacieux au gouvernement, peut importe qu’il ait menti sur la sûreté et l’efficacité de ses vaccins, le gouvernement était avec lui et qu’il (le gouvernement) savait ce qui se passait », déclare Robert Barnes, l’avocat de Brook Jackson.

La révélation a eu un écho spectaculaire sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter où elle a été très largement partagée.

Ci-dessous la vidéo de l’interview de l’avocat Barnes avec le média Viva Frei