Interdiction totale de la chloroquine dans le traitement du Coronavirus : osons le dire : c’est une décision criminelle

On voyait le coup venir. Mais, on ne pensait pas qu’il allait s’abattre sur le peuple avec une telle violence. Ce qui vient de se passer ce 27 mai est d’une gravité extrême que très peu de personnes seraient prêtes à cautionner. Je vais utiliser un langage simple et accessible à tous afin que tout le monde comprenne le véritable problème que je dénonce.

En effet, le gouvernement français, par décret, a interdit purement et simplement la chloroquine dans le traitement du coronavirus. La décision est tombée moins d’une semaine après celle de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) de suspendre les « essais cliniques » du médicament.

On vient ainsi d’assister à un véritable coup de massue asséné au peuple d’autant plus que des centaines de scientifiques crédibles (je dis bien crédibles) dont Didier Raoult ont clairement démontré que la chloroquine reste un médicament extrêmement efficace dans la lutte contre le virus dès l’apparition des premiers signes.

La décision a été prise à la suite d’une étude publiée par The Lancet, une publication scientifique appartenant à la très riche multinationale britannique Elsevier et selon laquelle avec la chloroquine, « il y a un risque accru de mortalité et des risques accrus d’arythmie ventriculaire ».

La même étude a été qualifiée de « foireuse » par Raoult et démontée par des scientifiques. En effet, un collectif regroupant 1200 médecins libéraux à travers la France a remis en cause la crédibilité de l’étude soulignant ses failles. Parmi ces failles, on note : l’absence de précision de la durée de traitement ainsi que des doses prescrites. Et ce qui est grave dans cette affaire est que l’auteur de l’étude « reconnaît avoir touché des rémunérations en provenance de nombreux laboratoires pharmaceutiques, dont un impliqué dans le scandale du sang contaminé », nous apprend France 3.

Je n’insisterai pas sur l’étude en question d’autant plus que ses conclusions sont loin d’être probantes. Ce que je veux dire ici est qu’il n’y a aucun doute que derrière cette décision d’interdire l’hydroxychloroquine, à travers une étude foireuse qu’aucun scientifique crédible ne peut cautionner, il y a la main de Big Pharma, ces véreux géants pharmaceutiques qui ont déclaré une guerre sans merci à Raoult depuis qu’il a commencé à convaincre de nombreux Français sur l’efficacité du médicament.

Maintenant, c’est terminé. Après l’avoir vilipendé, dénigré, diabolisé et ridiculisé en s’attaquant à son  look et en déployant sur les plateaux de télé un contingent de « médecins journaleux » pour le détruire, on en est arrivé à l’éliminer totalement dans le traitement d’un virus qui a déjà fait plus de 20 000 morts en France.

Personne ne dit que la chloroquine est le remède miracle pouvant sauver des vies. Mais, beaucoup sont arrivés à la conclusion qu’il est d’une rare efficacité dans le traitement de la Covid-19 dès l’apparition des premiers symptômes. Cependant, il faut juste comprendre qu’un remède à base de chloroquine (un médicament pas cher) n’arrange pas Big Pharma qui, depuis de la début de la crise, a cherché à se faire du fric sur le dos des peuples.

La chloroquine n’est pas la seule cible de ces géants pharmaceutiques immoraux qui n’en ont strictement rien à foutre de la santé des êtres humains. Tant que les médicaments qu’ils fabriquent dans des conditions extrêmement opaques leur rapporte de l’argent, le reste, c’est une autre histoire.

En effet, celles et ceux qui suivent l’actualité ont sans doute entendu parler de Covid-Organics, une tisane grâce à laquelle des citoyens malgaches ont été guéris de la Covid-19. Pourtant, malgré les résultats satisfaisants obtenus, l’OMS qui a perdu le peu de crédibilité qu’elle avait à son actif a tout simplement boycotté le remède africain. Ce 27 mai, elle a accepté des essais cliniques du médicament, mais il faut être très naïf pour croire qu’elle tranchera en sa faveur.

Cette OMS, totalement contrôlée par les géants pharmaceutiques, est la même organisation qui a sans doute fait pression pour que la chloroquine soit abandonnée dans le traitement du coronavirus. Pour quelle raison? Et bien, pour réserver le marché du traitement du virus uniquement aux richissimes géants pharmaceutiques qui, pour beaucoup d’entre eux, ont du sang sur les mains.

Cette décision d’interdire la chloroquine est d’autant plus injuste que des vidéos filmées et largement diffusées sur les réseaux sociaux ces dernières semaines ont permis de voir que le médicament a été pourtant réservé à une partie de l’armée. En gros, on prescrit aux vaillants soldats le même médicament qui est interdit au peuple. C’est scandaleux.

Big Pharma a réussi son coup : éliminer Raoult et tout autre scientifique qui ne trouve pas grâce à ses yeux de la course pour un vaccin dont le pactole sera impressionnant. Il s’agit en effet de vacciner des milliards d’individus. D’ailleurs, la célérité avec laquelle Bill Gates a agi, en avril, offrant 250 millions de dollars à l’OMS quelques heures après l’annonce de Trump de couper la participation américaine à cette organisation est la preuve que nous avons affaire à des businessmen prêts à tout pour neutraliser tout potentiel concurrent et s’accaparer à eux seuls un marché juteux.

En un moment donné, il faut avoir le courage de dénoncer cette mainmise d’un groupuscule de businessmen sur la santé des êtres humains. Ceci est un crime.